DC Comics Batman: Universe
A***
Bendis, great writer. Run of the mill story.
I won’t spoil this comic, but it takes Batman far and wide and you meet a whole host of people.Brian Bendis was a marvel writer and from what I’ve read of him in his Marvel days, he is brilliant.But that’s Marvel...This is DC.I’m a big DC fan but I feel Mr.Bendis doesn’t know as much about DC as he does Marvel.It’s a decent read, but is it it groundbreaking?No.The art is alright. Much prefer other artists (I didn’t actually look to see who drew this, sorry!)The story just seems a little flat, not bad but not groundbreaking either.Middle of the road.Bendis is one of the top writers in the business, but in DC he’s no Scott Snyder or Grant Morrison.It’s a nice enough comic, hardback, decent paper, glossy.Usual.I’d have skipped this if it wasn’t for Bendis name.Hard truth of my purchase was his name.But, he’s a Marvel man and it shows because his writing isn’t as strong.Take a punt.You may like it.This comic is also out of current continuity, stand-alone.Thanks for reading.
P**E
Sympathique aventure dans l'univers partagé DC
Ce tome comprend une histoire complète et indépendante de toute autre, qui ne nécessite pas de connaissance préalable de Batman ou de l'univers partagé DC. Il comprend les 14 épisodes initialement parus en 2018/2019 dans des magazines vendus dans les magasins Walmart, puis réédités en comics 1 à 6 en 2019/2020, écrits par Brian Michael Bendis, dessinés et encrés par Nick Derrington, et mis en couleurs par Dave Stewart, avec des couvertures de Derrington.Batman est au volant de sa Batmobile, en contact avec Alfred Pennyworth : il est à la poursuite de Riddler (Edward Nigma). Alors qu'Alfred se montre sarcastique tout en monitorant les signaux en provenance de la Batmobile, Batman s'est arrêté et a sorti son pistolet grappin : il s'élance de gratte-ciel en gratte-ciel. Il arrive dans une grande salle de réception où des dizaines d'acteurs sont en costume de Riddler, ayant répondu à une petite annonce. Batman fonce dans le tas, Alfred lui indique dans l'oreillette que la police sera là dans quatre minutes. Batman finit par repérer le vrai Riddler et il s'élance à sa poursuite, tout en continuant à distribuer des mandales. Riddler se tourne vers lui avec un pistolet à la main prêt à tirer, mais il n'en a pas le temps car son poursuivant s'est jeté sur lui, le faisant traverser une vitrine. Riddler est à terre, Batman se tenant au-dessus de lui, avec le précieux objet qu'il a volé : un œuf de Fabergé. Mission accomplie… sauf qu'une lumière intense est projetée sur les deux hommes et Batman est touché de plein fouet par un rayon : il perd connaissance.Lorsqu'il reprend connaissance, Batman est entouré de 3 policiers dont un s'apprête à lui retirer sa cagoule : Il lui demande d'arrêter son geste et de lui dire où se trouve l'œuf. Le policier ne comprend pas, Batman demande alors où se trouve Riddler : ils ont tous été emmenés au poste. Ils racontent tous la même chose : ils ont répondu à une annonce pour interpréter Riddler et ils ne savaient pas que le vrai était dans la salle. Batman comprend qu'il n'y a aucune information à tirer d'eux et rejoint James Gordon sur le toit. Ce dernier l'informe qu'Edward Nigma a disparu sans laisser de trace. Batman est persuadé que ce vol était un travail de commande, et que Riddler était terrifié par le commanditaire. Avant que Batman ne parte en catimini comme il sait si bien le faire, James Gordon lui remet un papier avec le nom du propriétaire originel de l'œuf qui a été volé : Jonah Hex. Batman se rend donc une petite ville de campagne pour rencontrer Jinny et en apprendre plus la provenance de cet objet précieux. Il découvre une jeune femme qui tient un garage auto et qui lui explique qu'elle a donné l'œuf à un musée parce qu'elle ne connaissait aucun acheteur susceptible de lui faire un prix. À une de ses questions, elle lui répond qu'elle sait très bien qui était son arrière-arrière-grand-père qui lui a laissé cet œuf, elle a même un portrait de Jonah Hex dans un médaillon qu'elle porte autour du cou. Une fois Batman reparti, elle rentre dans son garage et va ouvrir une malle dans le bazar qui encombre la pièce de stockage.En 2018, Brian Michael Bendis décide de quitter Marvel Comics pour qui il travaillait depuis 2000, pour passer à la concurrence. Les responsables éditoriaux de DC Comics décident de lui confier le personnage de Superman, dans 2 séries mensuelles Superman et Action Comics, ainsi que des projets parallèles. Pendant ce temps-là, la série principale de Batman est confiée à Tom King. Spécifiquement pour le contrat avec Walmart, les deux scénaristes échangent de personnages, King étant le scénariste de Superman: Up in the Sky dessiné par Andy Kubert. Le lecteur comprend rapidement que le scénariste a construit son histoire sur la base d'un McGuffin (un objet prétexte) qu'il faut retrouver, avec une dynamique de course-poursuite : Batman doit retrouver l'œuf et le commanditaire du vol. Dès la fin du premier chapitre, c’est-à-dire à la moitié du premier épisode), le nom d'un autre héros de l'univers partagé DC est prononcé : Jonah Hex , personnage de western créé par John Albano et Tony DeZuniga en 1972. Au fil de cette aventure, Batman va faire équipe avec d'autres superhéros DC, certains de premier plan (mais il n'y a ni Wonder Woman, ni Superman, sauf dans 1 case), d'autres moins célèbres. Bendis met ainsi à profit la richesse de l'univers partagé DC, sans trop en faire. De même, il choisit deux ou trois lieux emblématiques de cet univers partagé comme Gorilla City, là encore sans transformer son histoire en prétexte pour aligner le plus jouets possible.Il s'agit donc d'une aventure, sans autre ambition que de divertir. Nick Derington a réalisé peu de comics, le plus récent étant une itération de la Doom Patrol, écrite par Gerard Way, dans le label Young Animals de DC Comics. Ses dessins s'inscrivent dans un registre descriptif et réaliste, avec un bon niveau de détails. Il réalise des cases soignées, avec une bonne densité d'informations visuelles, des décors représentés en arrière-plan dans la quasi-totalité des cases. Le lecteur se rend vite compte que Derington prend un réel plaisir à illustrer cette série de péripéties hautes en couleurs. Le scénariste privilégie les rebondissements et les actions spectaculaires, avec un Batman plein d'entrain (sans aller jusqu'à être enjoué quand même). La narration de la séquence d'ouverture est très rigoureuse : Batman en train de conduire (ou piloter) la Batmobile en vie subjective. L'artiste prend le temps de représenter le tableau futuriste, de montrer les mouvements des mains sur le volant, et même le reflet du conducteur dans le parebrise, sans oublier les façades d'immeubles ainsi visibles à travers le parebrise. Dave Stewart effectue un travail très méticuleux de mise en couleurs d'une grande précision, sans être ostentatoire. La troisième page montre Batman dans un dessin en pleine page se laissant tomber vers le lecteur entouré de gratte-ciels : une image très superhéros, mettant en valeur sa prouesse physique. Le spectacle est magnifique.Il est visible que Derington a à cœur de mettre en valeur les éléments superhéroïques : belle progression case par case de Batman se frayant un chemin au milieu des Riddler, combat soigneusement mis en scène contre Deathstroke avec un enchaînement de coups et de déplacements logique et plausible, formidables projections informatiques autour de Batman assis dans son fauteuil dans la Batcave, extraordinaire vision des toits de Gorilla City, superbe dinosaure agressif à souhait, étonnante manifestation des constructions d'un anneau de pouvoir, etc. Le dessinateur varie également ses constructions de page pour donner plus de mouvement aux séquences qui le justifient, sans les systématiser non plus. Au fil des séquences, le lecteur savoure plusieurs caractéristiques visuelles : l'incongruité de la Batmobile dans la rue centrale d'une petite bourgade de campagne, l'assurance de Batman devant un commando de gorilles dotés de conscience et armés, Batman disposant d'un harnais antigravitationnel pour voler (et quelqu'un qui se moque de lui parce qu'il a une cape qui ne lui sert à rien), la splendide vue d'une crique de l'Île aux Dinosaures, la chevauchée dans une zone désertique de l'Ouest américain, l'aménagement de la Batcave, la vingtaine de Green Lantern, la plupart étant identifiables pour le lecteur chevronné en Green Lantern. Vraiment, l'artiste sait faire partager son plaisir de raconter une histoire sympathique, entraînante et inventive.Pour cette première incursion dans le monde de Batman, Brian Michael Bendis choisit de revenir à une version en mode aventure, plutôt que de plonger dans un roman noir, avec un individu polarisé dans sa guerre contre le crime jusqu'à en devenir obsessionnel. Pour autant, il ne trahit en rien la nature du personnage, il ne s'en sert pas comme d'un personnage générique. Il s'amuse à peu avec ses gadgets, sans tomber dans le systématisme ou la surenchère. Il met en scène ses talents de détective, sans en faire un super Sherlock Holmes, et il met en valeur ses aptitudes de combattant chevronné. Il n'en fait pas non plus un individu hautain ou défiant vis-à-vis de tout le monde, puisqu'il arrive à collaborer avec d'autres superhéros sans les prendre de haut. Le lecteur se laisse donc bien volontiers embarquer ans cette balade qui lui permet de rencontrer d'autres superhéros, et de visiter des lieux exotiques. Il prend ces aventures au premier degré, comme un divertissement bien tourné.En commençant cette histoire, le lecteur a conscience qu'elle est à part de la continuité et qu'elle n'a pas d'incidence dessus, que l'enjeu n'est pas de raconter un récit qui fera date dans l'histoire du personnage. Il constate dès la première séquence que Nick Derington est fortement investi dans la mise en images, avec un entrain communicatif qui rend la lecture aussi immersive qu'agréable. Brian Michael Bendis fait preuve d'une bonne inventivité sur une trame basique et efficace. Le lecteur ne boude aucunement son plaisir et s'amuse bien avec ces aventures sans prétention. Superman: Up in the SkyJonah Hex
K**T
Abwechslungsreich - aber stellenweise ein wenig zu konstruiert
Vandal Savage ist immer wieder ein interessanter Gegner für Batman - insbesondere in Verbindung mit Zeitreisen.Als der Riddler ein Faberge-Ei stiehlt, das wohl zwischenzeitlich der Familie von Jonah Hex gehört hat, trifft Batman auf seinen alten Gegner, der sich uncharakteristisch dumm verhält. Und er scheint in diesem Fall auch nicht auf eigene Rechnung zu handeln, sondern im Auftrag von Vandal Savage. Tatsächlich scheint die Nähe des Eis auch Batmans kognitiven Prozesse negaiv zu beeinflussen. Und immer wieder lokale Wurmlöcher zu schaffen, die Batman und seine zeitweiligen Mitstreiter durch Raum und Zeit schleudert.Bis zur Auflösung der Geschichte sehr unterhaltsam und wandlungsreich, aber dann ist mir persönlich die Sache en wenig zu sehr deus-ex-machina-beeinflusst. Kann man lesen (und auch größtenteils genießen) ist aber nicht wirklich ein Muss.
F**N
Lectura fresca y agil
Muy entretenido y muy buen dibujo.
M**C
You need more "randomized wormholes" if your life.
I have no enthusiasm for the recent Batman canon comics or Bendis' Superman. Yet I liked this graphic novel! It's a sprawling adventure tale, one of the few truly all-ages Batman books published in a long while. There is no gore, only a few "hell" swears, and the women wear clothes. And there is no edgelord silliness. Imagine that.There was padding, but even the filler is pretty entertaining. The story doesn't get bogged down in inessentials, despite its variety. It assumes only a basic knowledge of the DC universe.Stuffed with identifiable Bendis stylings, but accessible nonetheless. I wouldn't mind seeing another out-of-continuity Batman graphic novel from him. Heaven forfend he be permitted contact with the actual canon.Bright, colorful, optimistic, and fun to read.
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2 days ago
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